Si vous avez une ancienne imprimante jet d’ancre (Epson SX245 par exemple), vous souffrez probablement des cartouches d’encre qui ne durent que quelques centaines de pages.
Elles tiennent rarement plus de 30 jours pour des utilisateurs modérés, comme les professeurs ou les parents ayant des enfants à l’école.
Mais dernièrement, une solution peu connue circule sur le marché algérien : les cartouches rechargeables.
Certes, ce ne sont pas des cartouches officielles (à utiliser avec précaution et en tenant compte des risques), mais cette solution pourrait économiser quelques dinars dans le budget déjà très serré des Algériens.
Ces cartouches rechargeables coûtent entre 2500 et 4500 DZD, et l’encre coûte environ 7500 DZD le litre.
Pour expliquer toute l’opération : il faut utiliser une seringue pour recharger les cartouches une fois vides, au lieu de les jeter et d’en acheter d’autres à 1000 DZD, comme on le fait avec les modèles non rechargeables.
Ils sont indispensables.
Je les utilise et je les recommanderais n’importe quel jour plutôt que des cartouches non rechargeables.
La seule mise en garde semble être que toutes ne se réinitialisent pas de la même manière.
J’ai une Epson, et je dois attendre que le logiciel Epson me dise qu’elle est à court d’encre avant de pouvoir réinitialiser la cartouche. Elle s’arrête d’imprimer à mi-chemin, ruinant tout le travail.
J’ai cherché un réinitialiseur de puce, mais le vendeur m’a dit qu’il ne fonctionnerait qu’environ 100 fois, puis qu’il ne fonctionnerait plus ; donc je ne l’ai pas acheté.
Cependant, elles ne fonctionnent pas toutes de la même manière, certaines cartouches peuvent être réinitialisées avant qu’elles ne soient signalées vides par le logiciel (cela ne semble pas être le cas avec mon Epson cependant).